“Ce n’est plus lui”, “ce n’est plus elle” : c’est vrai, et ça n’est pas vrai...
Doit-on admettre la dégénérescence spirituelle comme inexorable ?
Doit-on appréhender le malade comme il est ?
Comme le personnage qu’il était ?
Comment respecter son autonomie fragilisée ?
Quelle information diagnostique révéler, quel pronostic faire qui ne soit un verdict ?
Qu’est-ce qu’une prise en charge juste, respectueuse de tous ?